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Il est constaté de plus en plus dans le monde que l’agriculture conventionnelle est entrain de céder place à l’agriculture biologique. C’est ainsi qu’il a été adopté la loi qui oblige de servir désormais des repas comprenant 50% de produits ayant bénéficiés de labels. Ladite loi sera mise en vigueur rigoureusement au début de l’année 2022. Lisez cet article pour comprendre davantage.
Augmenter le revenu des agriculteurs à travers une agriculture durable.
Notez principalement qu’il s’agit de l’un des objectifs de la loi Egalim, permettre aux producteurs agricoles de maximiser leur revenu. Et pour se faire, la loi favorisera une revue sur le prix et le coût des productions agricoles. Elle organisera des promotions de vente pour permettre aux agriculteurs d’avoir un équilibre suffisant sur le marché d’écoulement de leur produit. De même cette même loi favorisera une existence des promoteurs des petites et moyennes entreprises.
Permettre une bonne condition de production agricole aux agriculteurs.
Au regard des arrières effets après utilisation des produits chimiques, on note que le coût de ces pesticides revient chères aux agriculteurs. Aussi, leur utilisation constitue une source principale d’intoxication de ces agriculteurs. C’est pour cette raison que la loi prévoit l’adoption de l’agriculture biologique. Ceci permettrait, une protection de la biodiversité, de même que la protection de la santé des consommateurs. Plus loin, la loi favorise toujours aux producteurs la pratique d’une agriculture biologique sans l’implication totale des pesticides. La conséquence que cela peut engendrer est juste une amélioration des conditions de production des producteurs agricoles.
Contrôler et optimiser le bien-être des animaux
A ce niveau on pourra parler des multitudes décisions qui ont été prise par l’Etat centrale. Dans ces décisions, la loi ne permet pas la mauvaise gestion des animaux dans leur milieu de vie. Le transport de même que l’abatage des animaux sont régit par des normes. En générale, on peut noter que l’Etat propose de mettre en place des vidéos de surveillance dans les abattoirs au titre d’une expérimentation. Cette stratégie permettrait à l’Etat d’avoir une idée du traitement des animaux aux niveaux des abattoirs.